50 ANS après avoir été annoncée
dans le CATALOGUE de 1971 !
Dans une version INTERPISTE de dernière génération,
terriblement rapide et à la tenue de route impeccable,
la PORSCHE 907 CIRCUIT 24® est dévoilée à quelques premiers passionnés.
Comme la très rare “FORD GT 40 lumineuse” de 1968,
l’une de ses ancêtres équipée en série,
elle s’élance avec des phares AVANT et ARRIÈRE connectés !
LE LUNDI 25 JANVIER 2021,
LA MARQUE CIRCUIT 24 RENAIT
Près de 50 ans
après sa disparition,
la marque française de SLOT
sort sa première
NOUVELLE voiture !
CIRCUIT 24 (1961–1973) renaît de ses cendres,
présente la Porsche 907 tant attendue
et annonce pour les mois et les années à venir
beaucoup de nouvelles voitures,
inédites et entièrement compatibles.
RENAISSANCE CIRCUIT 24
La marque réapparaît
et dévoile d’ambitieux objectifs
La voilà donc enfin !
Près de 54 ans après sa 5ème place au Mans, le lundi 25 janvier 2021, la Porsche 907 LH n°41 des 24 Heures du Mans de 1967 a été dévoilée à quelques premiers passionnés de la marque Circuit 24, dans une version interpiste de dernière génération extrêmement rapide… et des phares avant et arrière connectés !
Le dépôt de bilan passé de la marque fut favorisé par le faible corpus de véhicules, face à la concurrence : l’idée de départ du projet fut donc naturellement de réaliser de nouvelles carrosseries. Chineur passionné, à chaque découverte en brocante de miniatures de marques défuntes… je tentais leur assemblage avec le châssis Circuit 24… mais cela ne «collait jamais». L’idée fit son chemin puis, grâce à la modélisation numérique et à pas mal d’acharnement, il fut enfin possible de fabriquer en 2020 le premier exemplaire original qui s’adaptait parfaitement au châssis de ma marque favorite.
Mais comment fabriquer des séries ?
Aujourd’hui, les procédés industriels de fabrication (pièces moulées par injection de plastique dans des moules en métal) sont vraiment très onéreux et obligent les fabricants de voitures miniatures à réaliser des séries importantes pour les rentabiliser : ce sont de grosses structures avec un capital important et un service marketing très développé, sur tous les continents.
A l’opposé, des artisans réalisent, au sein de petites structures, des « kits » en petites séries : les moulages sous vide se fabriquent avec des moules en silicone permettant énormément de détails et une fidélité de reproduction remarquable. Cette technique nécessite par contre une multitude de produits chimiques (plasticine, pâte de silicone, catalyseur, durcisseur, agent de démoulage pour les moules puis résines polyester, epoxy ou polyuréthane et durcisseurs pour les coulées des tirages). Le savoir-faire technique pour la fabrication des moules est conséquent et nécessite une longue expérience. L’ installation permanente d’une pompe à vide au sein d’un atelier-laboratoire dédié et ventilé dans les normes est obligatoire. Le recours à une multitude de produits est onéreux, mais le principal inconvénient de cette méthode est qu’elle est chronophage : le travail est manuel tout au long de la chaîne, nécessite un nombre important de manipulations les plus diverses où les expérimentations peuvent s’avérer des impasses. Et comme il faut refaire un moule après la coulée de 30 à 40 exemplaires, ces artisans sont aujourd’hui peu nombreux et leur situation économique peut être fragile.
L’innovation majeure du projet fut le recours à l’impression 3D pour la conception et la fabrication des carrosseries : une technologie révolutionnaire de pointe au service du renouveau d’une marque vintage fut l’équation choisie ! Le style de l’époque était épuré, les voitures robustes étaient monochromes. Pour poursuivre le chemin tout en transmettant l’héritage du passé, Il fallait conserver « l’esprit de la marque », son style et sa signature, se poser cette seule question pour parachever l’oeuvre accomplie :
« qu’est-ce que Circuit 24 aurait bien pu proposer à son public pour se renouveler et continuer sa destinée… s’il n’y avait pas eu l’accident fatal de 1972 ? »
Circuit 24 n’a rien inventé
Comme l’écrit l’historien du slot Pépé à propos du moteur vibreur, ce moteur existait bien avant en Angleterre. Circuit 24, née en juin 1961 ne sera pas un pionnier dans l’utilisation de ce système à lame vibrante puisque Highways (1959) et Wrenn (1960) utilisaient déjà le même principe. « On peut comprendre l’utilisation d’un vibreur de sonnette comme moteur dans une auto HO en 1959 (Highways 1/72), parce qu’il n’existe à cette époque aucun moteur électrique suffisamment petit. Par contre, l’utilisation de ce système en 1962 dans des autos au 1/30 est vraiment étrange, puisqu’il y a toute la place voulue dans les C24, qui n’ont pas d’intérieur ».
Le système était même bien plus performant à l’origine puisque Circuit 24 l’a simplifié à l’extrême : « Sur les Highways, un contact de butée coupait l’alimentation de la bobine lorsque la lame descendait et ce système permettait de faire rouler les autos aussi bien sur le courant alternatif que sur le continu. Sur les Wrenn au 1/52, un an après Highways, le système est encore amélioré avec un petit bouton sous l’auto permettant de régler la position des lames vibrantes qui attaquent l’essieu… et ce sans rien démonter ! Highways (UK) sera racheté par Aurora (USA) et à partir de 1962 le moteur vibreur sera remplacé… par un vrai moteur électrique. Un an plus tard se sera le tour de Wrenn.
Et simultanément, alors que tous les autres abandonnent, ce montage apparait chez Circuit 24 ! »
Grâce à un puissant et habile marketing,
Circuit 24 est pourtant devenu très vite une marque générique
Les informations ne circulaient pas comme aujourd’hui : seule la bourgeoisie ayant les moyens de se mouvoir sur plusieurs continents pouvait être au courant des dernières innovations… les copier… et les revendiquer. La même chose se produisit pour le fameux « Circuit Interpiste » : sacré trouvaille marketing que le nom, en effet, mais il est mensonger d’affirmer que le comptable de la société « oublia de déposer le brevet »… puisque ce principe de deux voitures pouvant évoluer sur deux pistes avec croisements grâce à l’alimentation par courant alternatif et l’ajout de diodes d’inversion… avait été inventé bien avant aux USA. Le grand Pépé, toujours lui, explique bien la chose : « Le montage des diodes apparait à peu près simultanément chez Miniamil (F), Faller (D) et Eldon (USA), fin 1963 / début 1964. »
Pourtant, grâce à un marketing MADE IN U.S.A., des tests produits réalisés à leur insu sur des enfants derrière des vitres teintées (il fallait oser !), grâce à de la publicité extrêmement ciblée, la marque a connu par le passé un énorme succès. Les enfants disaient avoir « un Circuit 24 », même s’ils avaient un circuit Polistil ou Scalextric ! Marque « lexicalisée », son nom est en effet devenu générique, ce qui est vraiment rare et exceptionnel pour une marque française. « Lorsqu’une marque — qui est un nom propre — devient un nom commun ou remplace le nom commun préexistant, cette marque devient générique et éponyme. Il s’agit d’un cas particulier d’anatomase du nom propre. Escalator, Scotch, Mobylette en sont des exemples classiques, tout comme « un Frigidaire », qui désignait à l’époque… un réfrigérateur ! » (source Wikipedia).
Le fabricant eut aussi une seconde bonne idée marketing, celle d’ajouter « Le Vrai ! » à sa marque sur les coffrets, pour se démarquer des concurrents. Homme de marketing, il insufflait dans les consciences l’idée qu’il y avait l’authentique (« le Vrai ») et les faux, les bons et les mauvais, les gentils et les méchants… Un peu culotté quand même, quand on a conscience aujourd’hui des divers « emprunts » réalisés par la marque pour ses différentes « innovations »… qui n’en étaient pas !
« DZ-015 pour la marque Circuit 24 »
« Une fabrication IDE pour Circuit 24 » puis « Circuit 24 par l’Usine à Idée » étaient les signatures des documentations et des coffrets. J’ai emprunté moi-même l’idée pour parachever cette histoire : « DZ-015 » est en effet le nom de ma société, dont les amoureux du film « Brazil » (Terry Gilliam) comprendront la référence et le clin d’oeil.
L’idée d’origine est, simplement et humblement, de tenter de continuer l’histoire de la marque et sortir, de manière artisanale, de nouvelles voitures, les plus performantes et belles possibles.
Châssis amélioré, roues en métal, carrosserie en impression 3D, vitrages et capots de phares transparents, rigides et épais, réalisés en résine d’impression 3D transparente plutôt que par thermoformage : la qualité est au rendez-vous !
Le système des frotteurs métalliques fut la seule vraie innovation de la marque vintage (et encore !), car c’est en effet un meilleur système que celui des tresses pour capter le courant : il a été conservé et des frotteurs originaux, identiques aux anciens, ont été fabriqués.
Modèles numérotés de 1 à 100 dans des boîtes à couvercle cristal mais au design revisité, stickers des numéros des voitures selon la typographie officielle de la marque par copie stricte des numéros vintage existants, phares avant et arrière, moteur BÜHLER pas-à-pas de dernière génération, diode et condensateur en série (…) sont les autres caractéristiques de ces voitures de slot : conçues au départ pour le circuit « interpiste Circuit 24 », elles sont avant tout des voitures pour circuit 12 Volts continu d’aujourd’hui : quasiment toute la gamme des soixantes carrosseries qui sortiront au fil des ans seront compatibles avec les anciens châssis, vibreurs ou continus (Riam et Buhler), ce qui fait de ces voitures des bolides multi-standards comme l’indique l’inscription « AC/DC Racing Slotcar » sur les boites. Pareillement, elles sont absolument compatibles avec les circuits modernes comme avec tous les anciens (Carrera, Scalextric, Ninco, Polistil, etc.).
Quelques données techniques
L’autre raison du dépôt de bilan fut la mauvaise conception de l’ultime « châssis BÜHLER » : deux erreurs de parallaxe réduisaient fortement la durée de vie des couronnes de transmission et des pignons… alors même que SCALEXTRIC proposait dans le même temps un châssis-moteur 12 Volts terriblement efficace et robuste. Avant de proposer une première carrosserie au public, il fallait donc revoir totalement la conception du châssis, trouver un nouveau moteur capable de rivaliser avec ceux d’aujourd’hui, inventer un système pour le fixer… fabriquer des frotteurs, des guides, des paliers, des pignon en laiton et des couronnes dentées… et proposer aussi d’autres jantes que les classiques jantes à rayons, déjà curieuses pour la FERRARI 330 P4 et totalement obsolètes pour les Matra MS650 et les Porsches 917K vintage !
Le châssis a donc été entièrement revu et amélioré, notamment le système de fixation du moteur. Ont cependant été conservées toutes les valeurs vintage d’entraxes, l’empattement et tous les points de fixation originaux des carrosseries. On pourrait être surpris par le choix du mode de fixation du moteur : le collier de serrage a le privilège d’assurer un serrage parfait et d’être économique, mais ce système a surtout l’avantage d’être pérenne. La faiblesse des deux châssis précédents était leur fragilité, après plusieurs démontages / remontages, le plastique pouvait casser : plus il y a de pièces et plus les formes du plastique sont compliquées, moins la durée de vie est importante.
Contactée, la société Allemande BÜHLER, fournisseur historique de la marque, a joué le jeu et permis l’utilisation d‘un nouveau moteur, de conception très récente et au couple remarquable.
Pour les voitures de course des années 50, on a conservé les jantes à rayons vintage. Les jantes à cercles concentriques – copies en aluminium d’un modèle vintage de roues grises de DB4 Panhard – serviront à certains modèles des années 60. Pour les époques postérieures, passionné et désireux d’apporter sa pierre à l’édifice, un collectionneur des Charentes a prêté un modèle de jante à bâtons très rare, celui qu’avait sorti « Circuit 24 » dans les derniers mois de son existence : les cotes en Inch ont été mesurées, des plans 2D puis des fichiers 3D réalisés, puis furent fabriqués en série de splendides roues à bâtons… mais cette fois en métal, avec un moyeu pour un serrage par vis M2, en aluminium brillant ou anodisé noir pour certains modèles, en laiton brillant pour les Ferrari des années 70 !
Au final, la conception et la fabrication de ces nouveautés a permis de crédibiliser les sorties de nouvelles voitures, de toutes époques. Équipées de phares à l’avant et à l’arrière, chacun des 100 exemplaires de ces petites-autos-bijoux est assemblé et monté à la main, à PARIS même et par mes soins.
« Circuit 24, le Vrai ! » : L’aventure continue !
Ces voitures sont en effet numérotées de 1 à 100, un peu comme de l’Artisanat d’Art, afin de créer par ce biais de la valeur supplémentaire. La marque est imprimée en relief, le numéro de série également indiqué sur l’envers : la numérotation simultanée des carrosseries, celle des boîtes à couvercle cristal ainsi que celle des futurs certificats d’authenticité apporteront indéniablement aux collectionneurs l’assurance d’une plus-value future certaine. Vendus aux enchères sur Ebay, les « premiers numéros » seront prisés et atteindront assurément des montants importants. Les collectionneurs voudront un exemplaire d’un modèle unique tiré à 100 exemplaires, mais ils essaieront plus encore d’acquérir les premiers exemplaires de la série…
Afin de permettre à toutes les bourses d’acquérir un exemplaire, les numéros de 50 à 100 auront TOUJOURS un prix fixe et la réservation un mois à l’avance avec un numéro précis sera toujours possible, dès la parution d’une Lettre d’Information annonçant une sortie prochaine. Il n’y aura aussi jamais, c’est un engagement, de série supérieure à 100 unités.
Il n’y aura en effet JAMAIS de réédition en séries numérotées de modèles épuisés. L’engagement a été pris : les modèles numérotés épuisés ne pourront être, dans le futur, que réédités sans numérotation particulière, cela afin de vous garantir dès maintenant la valeur future de votre investissement. De même, les quelques séries de carrosseries dédiées au moteur à lame vibrante seront toujours commercialisées SANS numéro de série, comme ces carrosseries de Ferrari 250 GT SWB (« AC lighted Circuit 24 bodies »), qui sortiront pour les fêtes 2021…
Un entrepreneur doit savoir prendre ses propres risques : sera proscrite la logique absurde d’une « souscription » ou de tout projet à financement « participatif » (sic) puisque ne seront commercialisés que des modèles physiquement prêts à être vendus, prêts à être envoyés par La Poste ou Mondial Relais. Il est hors de question de demander aux collectionneurs « d’avancer » quoi que ce soit et leur faire porter de longs mois durant la charge financière de la production : il est étonnant qu’en 2021 de telles pratiques aient encore cours, alors qu’il faudrait fuir la participation à ces acrobatiques montages de trésorerie… à gagnant unique.
La vente de nouvelles carrosseries numérotées sera donc le coeur de l’activité de la structure commerciale DZ-015. Il ne sera pas oublié non plus la poursuite de l’édition de nouvelles pièces détachées, reproductions fidèles absolument identiques aux pièces d’origine des modèles vintage passés. Peu à peu, le site internet dédié circuit24l.fr montera en puissance et l’on pourra y télécharger énormément de choses : copies haute-définition de plans de circuits, tutoriels, schémas électroniques d’éclairage, documentations techniques, maquettes de stands en C.P. 5mm (…) seront partagés gratuitement avec les passionnés, acheteurs potentiels des carrosseries conçues et fabriquées par DZ-015… ou simples curieux intéressés par le Slot Racing.
Sera donc favorisée la convivialité des échanges, la logique du partage généreux et cela bien sûr sans obligation d’achat, sans obligation d’aucune sorte et surtout même sans le versement d’une quelconque « cotisation ». La pratique est en effet douteuse et laisse entendre qu’une passion a forcément une valeur marchande, monnayable par le compte PAYPAL profiteur d’un tiers, qui bien souvent n’a, au final, rien à apporter.
La PORSCHE 907 n°41 sort le 25 janvier 2021
et signe la renaissance du “CIRCUIT 24®”
Une MAGNIFIQUE SURPRISE tenue secrète pendant plus de dix-huit mois !
La Porsche 907 n°41 de 1967 est révélée au public
dans une nouvelle « boite cristal » numérotée et très élégante,
inspirée des boites vintage mais plus épurée,
avec un code couleur rose et blanc résolument moderne.
Châssis original, compatible avec les carrosseries du Circuit 24 Vintage
Largeurs d’essieux élargies, pour une tenue de route améliorée
Nouveau moteur pas à pas BÜHLER 2020, 12V continu
Frotteurs originaux fabriqués en acier Haute-Qualité (EXCLUSIF)
Diode d’inversion, condensateur en série : auto multistandard AC et DC
Nouveau système de fixation du moteur original et EXCLUSIF
Renouvellement et amélioration du couple pignon / couronne
Roues à bâtons en aluminium anodisé (noir sur la première voiture)
Serrage des roues sur les axes par vis M2 à tête hexagonale
Carrosseries en résine par impression 3D très haute PRÉCISION
Vitrages rigides , épais et transparents
Capots de phares également en résine 3D transparente
Phares connectés à l’avant et à l’arrière
Montage, câblages et soudures entièrement réalisés à la main, à PARIS.
Stickers de numéros originaux, d’après copie fidèle de la typo vintage
Sur piste vintage, voici la Porsche 907 Circuit 24 en vidéo (Courtesy M. Alain ANSEL)
Du mythe à la réalité
« Annoncée pour l’année 1971,
c’est la voiture mythique de la course du siècle
dont tout le monde à entendu parler,
que chaque collectionneur passionné
a vu en photo dans un catalogue,
que chacun a un jour cherché en vain…
et qui n’existait toujours pas en 2020. »
LES FERRARI 250 SWB DE 1960
SORTENT POUR NÖEL 2021,
AVEC UN MOTEUR BÜHLER,
EN 3 COULEURS
ET EN BOITES DÉDIÉES.
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Les 3 différentes Ferrari 250 GT SWB à moteur Bühler.
UNE VERSION VIBREUR
EST ÉGALEMENT DISPONIBLE POUR
CE MODÈLE TRÈS DEMANDÉ.
LA VERSION VIBREUR DE CETTE CARROSSERIE
EST DISPONIBLE DÈS 2021,
EN ROUGE ET EN GRIS MÉTAL,
AVEC UN PACKAGING MONOCHROME DÉDIÉ.
LA BOITE ANGLAISE DE LA COOPER T51,
FABRIQUÉE
AU ROYAUME-UNI DE 1961 À 1964,
EN A INSPIRÉ
LE DESIGN VINTAGE.
LA BOITE VINTAGE COOPER U.K.UN NOUVEAU CHÂSSIS
LA PROBLÉMATIQUE
Il fallait que le nouveau châssis soit compatible avec les carrosseries des années 60 et 70. Même si les largeurs d’essieux pouvaient varier, l’empattement ne pouvait pas changer : la distance entre l’essieu avant et arrière devait rester absoluement inchangée et l’emplacement des huit picots mâles permettant un parfait ajustement des deux parties de la voiture non plus.
Il existait deux versions de châssis BÜHLER vintage : celle dans lequel le moteur se coince dans un habitacle a été écartée à cause de sa grande fragilité. Le second châssis a donc été scanné pour servir de modèle 3D, même s’il était évident que la fourniture de la grille de fixation du moteur poserait forcément problème à notre époque et pour des séries de moindre importance.
Lors de cette étape, l’on s’est aperçu d’une erreur de conception originelle. L’usure rapide des couronnes et des pignons de cette version du châssis Circuit 24 s’explique en effet par deux erreurs de parallaxe que l’analyse du scan 3D obtenu a permis de détecter. Sur ce châssis vintage, le pignon et la couronne ne sont pas alignés comme il le faudrait et cela entraîne des frottements inappropriés entre ces pièces, induisant leurs usures prématurées.
Ces problèmes ont été corrigés et a donc été ensuite recherchée une façon simple, durable et économique de fixer le moteur.
CONTINUITÉ
ET INNOVATION
Le nouveau châssis a bénéficié de l’expérience de son frère vintage et a été amélioré grâce aux retours d’expérience de son utilisation pendant dix ans.
Les huit picots mâles qui, selon les modèles, peuvent s’enfoncer dans les orifices des carrosseries vintage et rendre les deux éléments solidaires, ont été reconduits car ils consolident parfaitement les voitures et en abaissent le centre de gravité : les carrosseries ne sont pas posées sur un châssis, elles font corps avec lui.
Les châssis à moteur RIAM avaient mis en évidence la facilité des voitures rapides ayant un axe étroit à faire trop facilement des tonneaux dans les virages. Deux largeurs différentes d’essieux arrières ont donc cohabité pour les modèles vintage à motorisation BÜHLER. Les deux dernières voitures (la Matra MS 660 et le Porsche 917K), furent donc commercialisées avec des axes arrières élargis par rapport à ceux des autres modèles.
Nous avons bien évidement choisi ce type d’axe arrière de dernière génération pour tous les modèles du Nouveau Circuit 24.
Existaient aussi deux types d’axes avant, avec là encore une variante élargie pour ces seules deux dernières voitures : des rivets enfilés sur l’axe avant faisaient astucieusement office d’entretoises, entre l’intérieur de la jante et le châssis.
A la présence de ces pièces détachées additionnelles favorisant les frottements. ont été préférées des roues à moyeux de longueur adéquate.
Un système de fixation UNIQUE au monde
Ce collier de fixation est une pièce détachée de quelques centimes, très répandue à notre époque, qui accomplit parfaitement sa tâche de maintien. Tout achat d’une voiture CIRCUIT 24 donne lieu à la remise gratuite de quatre colliers supplémentaires.
Inspiré du châssis vintage pour une parfaite compatibilité entre deux époques éloignées de plus de 50 ans, l’inovation majeure du nouveau châssis est celle du système de fixation du moteur : toutes les pièces mécaniques ont ici été supprimées, au bénéfice d’un collier de serrage qui se glisse dans deux fentes incassables et permet un parfait « enrobage » du moteur.
UNE SOLIDITÉ À TOUTES ÉPREUVES
Le moteur ne peut
PLUS BOUGER, il fait corps avec le châssis !
Un système uniquePOUR LA MOTORISATION,
A ÉTÉ RECONDUITE
LA COLLABORATION AVEC BÜHLER,
PARTENAIRE HISTORIQUE.
Dans la lignée du fabuleux moteur vintage,
la version contemporaine du mythique moteur BÜHLER des années 70
a été choisie par le NOUVEAU CIRCUIT 24®.
BÜHLER MOTOR, FONDÉE EN 1855 EN ALLEMAGNE, DÉVELOPPE ET FABRIQUE
DES SOLUTIONS D’ENTRAÎNEMENT INTELLIGENTES
AVEC DES MOTEURS, DES MOTORÉDUCTEURS ET DES POMPES À COURANT CONTINU OU ALTERNATIF.
AVEC 1450 EMPLOYÉS RÉPARTIS SUR 11 SITES SUR TROIS CONTINENTS,
C’EST UNE ENTREPRISE INTERNATIONALE,
SPÉCIALISÉE DANS LE MARCHÉ AUTOMOBILE, AÉRONAUTIQUE, MÉDICAL ET INDUSTRIEL.
BÜHLER MOTOR COMBINE SA CONNAISSANCE APPROFONDIE
DE LA MÉCATRONIQUE, DES CAPTEURS ET DES ACTIONNEURS, AFIN DE POUVOIR PROPOSER
DES SOLUTIONS DE MOTORISATION PERSONNALISÉES
DES CARACTÉRISTIQUES REMARQUABLES
Ce moteur a été choisi pour sa fiabilité,
sa durée de vie exceptionnelle,
ainsi que pour le compromis obtenu entre
PUISSANCE et VITESSE de rotation.
DES CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES IDÉALES POUR LE SLOT-RACING
CES TABLEAUX RÉVÈLENT
LES CARACTÉRISTIQUES
DU NOUVEAU MOTEUR
DE
LA MARQUE
ET L’INTELLIGENCE
DU COMPROMIS OBTENU
PAR
LE FABRICANT ALLEMAND :
VITESSE DE ROTATION ÉLEVÉE, MAIS AUSSI UN COUPLE IMPORTANT.
POUR
NOS VOITURES, CELA
SIGNIFIE VITESSE DANS LES
LIGNES DROITES ET
CONJOINTEMENT UNE GRANDE
PUISSANCE AU SERVICE DES
REPRISES DES VOITURES.
UNE VOITURE BI-STANDARD
ALTERNATIF OU CONTINU (AC/DC)
UNE DIODE D’INVERSION ET
UN CONDENSATEUR EN SÉRIE
RENDENT NOS VOITURES
COMPATIBLES AVEC TOUTES
SORTES DE PISTES :
PISTES VINTAGE
ALIMENTÉES EN 24V ALTERNATIF,
PISTES VINTAGE OU MODERNES
ALIMENTÉES EN 12V CONTINU
IMPORTANT :
Pour un usage exclusif sur un Circuit alimenté
en 12 Volts continu, il conviendra de déconnecter
le condensateur afin de bénéficier pleinement du frein moteur.
PIGNON & PALIERS EN LAITON
GARANTISSANT UN ROULEMENT DE PRÉCISION ET DES QUALITÉS MÉCANIQUES OPTIMUM,
LES AXES SONT EN ACIER
ET LES
PALIERS EN LAITON.
L’UTILISATION DE MATIÈRES NOBLES
ET LA PRÉCISION DES USINAGES INDUISENT STABILITÉ ET DIMINUTION
DU VOLUME SONORE.
COURONNE EN PA 11
LA COURONNE
DE TRANSMISSION
ORIGINALE A ÉTÉ ADAPTÉE
À NOTRE ÉPOQUE.
L’IMPRESSION 3D
A ÉTÉ PRÉFÉRÉE
À L’ONÉREUX
MOULAGE PLASTIQUE :
LA TECHNOLOGIE
H.P. MULTI-JET FUSION
A ÉTÉ CHOISIE
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LE MATÉRIAU
EST CARACTÉRISÉ
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AUX IMPACTS.
LE POLYAMIDE
POSSÈDE ÉGALEMENT
UNE EXCELLENTE RÉSISTANCE
AUX HUILES ET AUX GRAISSES.
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LE GUIDE VINTAGE
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A ÉTÉ COPIÉ RIGOUREUSEMENT
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LONGUEUR STANDARD RESPECTÉE.
DANS UN SOUCIS
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CES VOITURES SONT MULTI-PISTES :
IL EST RECOMMANDÉ
DE RÉDUIRE
LA LONGUEUR DU GUIDE
SI LES VOITURES SONT UTILISÉES
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OU POLISTIL (-1.3 mm).
(UTILISER UNE LIME PLATE)
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LES VOITURES
CIRCUIT 24
SONT ÉQUIPÉES
DE FROTTEURS EXTRÊMEMENT SOLIDES,
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REPRODUCTIONS
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DES FROTTEURS ORIGINAUX
DES ANNÉES 60,
ILS ONT ÉTÉ FABRIQUÉS
TOUT SPÉCIALEMENT
POUR LA SOCIÉTÉ DZ-015,
DANS UN ACIER HAUTE QUALITÉ
ET GRÂCE À LA CRÉATION
D’UN MOULE ORIGINAL EXCLUSIF.
HISTORIQUE DES ROUES
DES VOITURES DE COURSE
Dans l’histoire des courses d’endurance,
les voitures
sont presque toujours équipées des mêmes types de roues et de jantes :
Des roues à rayons chromés
Des roues à cercles concentriques,
ouverts ou non dur l’intérieur ou l’extérieur
Des roues à bâtons chromées, noirs ou or
QUELQUES EXEMPLES DE ROUES DE VOITURES DE COURSE :
1958–1961
Ferrari 250 TR1958–1961
Ferrari 250 TR1959–1961
Ferrari 250 GT SWB1957–1961
Panhard DB HBR41954–1957
Jaguar Type D1968–1969
Alfa Romeo T33/21972–1973
Alfa Romeo 33 TT31975–1981
De Cadenet Lola T3801979–1985
BMW M11979–1982
Ferrari 512 BB LM1970–1971
Porsche 917 K1970–1971
FERRARI 512 SROUES & PNEUS CIRCUIT 24®
Le design des roues Circuit 24 est donc inspiré de la réalité : on a cherché à améliorer les jantes vintage existantes, même les plus rares. L’observation des roues des voitures de course a conduit à la sélection de trois grandes familles de roues.
– Les roues à rayons ont été conservées, mais seulement pour les voitures qui en avaient vraiment dans la réalité, comme la nouvelle Ferrari 250 GT SWB. La marque Circuit 24 vintage les utilisait quasi systématiquement, même pour ses Ford GT 40, ses Ferrari 300 P4, ses Matra MS 660 et ses Porsche 917 K, pourtant équipées dans la vraie vie de roues à bâtons, argent, or ou noires…
– En 1961, la marque fabrique des roues à cercles concentriques grises, très belles, qui évoquent délicieusement le charme des jantes des DB Panhard : le clinquant des rayons chromés devait plaire davantage à la clientèle, peu regardante aussi sur la ressemblance, car ce modèle est finalement assez peu répandu, alors qu’il était plus sûrement adapté pour évoquer avec réalisme les Jaguar Type E blanches ou noires (1962 à 1964), les Porsches 718/4 RS Coupé grises (1961 et 1962), les René Bonnet Aérodjet bleues (1963 et 1964) et les Chaparral 2F blanches (1967) qu’immortalisait alors le Circuit Sarthois.
– En s’inspirant d’un modèle très rare de roues à bâtons, celui des Formules 1 vendues en France en 1972 et 1973 sous étiquettes Circuit 24, mais fabriquées en Allemagne par Georg Grötsch pour GG/GGN, a été développé un modèle de roue à bâton qui a été décliné en trois « coloris » : ces roues existent en aluminium brillant, en aluminium anodisé noir ou en laiton pour les Ferrari, qui affectionnaient les « roues en or ».
ROUES À RAYONS / ROUES
À CERCLES CONCENTRIQUES
ROUES
À BÂTONS
ROUES À CERCLES CONCENTRIQUES
Les jantes à cercles concentriques
en plastique gris Circuit 24 sont apparues
avec les DB PANHARD de noël 1961.
Elles ont étés mesurées, copiées, modélisées,
avec une très grande précision.
« De qualité supérieure, ces roues sont fabriquées dans un matériau d’alliage d’aluminium de haute qualité.
Résistance élevée et durable, poids léger, taille compacte, ces roues sont faciles à assembler et à démonter.
Chaque véhicule est fourni avec une clé hexagonale M2″
Détail du plan de profil 2D non côté de la jante Circuit 24® de 1962 revisitée par DZ-015
JANTES « 1960 »
LES JANTES VINTAGE « 60’s »
À CERCLES CONCENTRIQUES PARFAITEMENT REPRODUITES
EN ALUMINIUM
Les jantes à cercles concentriques en plastique gris sont apparues au tout début sur les DB Panhard.
Les jantes chromées à rayons, choisies pour équiper en 1962 les quatre premières Ferrari TR 250 (couleur rouge, jaune, bleu et vert), se généralisèrent ensuite sur tous les modèles (ce qui peut d’ailleurs poser question).
Ces jantes ont étés mesurées,
copiées et modélisées avec une grande précision.
La technologie 3D permet aujourd’hui de recréer un objet par rétro-ingénierie et le reproduire ainsi dans ses moindres détails. Un moyeu et une vis
de serrage M2 ont été rajoutés pour une meilleure fixation et un roulement parfait.
Ces jantes en aluminium équiperont la majorité des futures voitures du nouveau Circuit 24®.
Ces roues peuvent en effet figurer tout autant certaines jantes des années 50 ou 60, comme celles des Porsches 718 4/RS Coupé (1961) ou des Jaguar Type‑E (1962), que des roues plus tardives ayant un centre de forme sphérique, rentré vers l’intérieur ou dirigé vers l’extérieur (comme sur l’Alfa Roméo 33TT3 de 1972, la Porsche 935 K3 de 1976 à 1982, la Decadenet Lola T 380 de 1976 ou la B.M.W. M1 de 1979 à 1985…).
L’originale grise vintage en plastique, la roue en aluminium de profil avec sa vis de serrage M2, la roue revêtue de son pneu « DUNLOP RACING ».
« CLASSISISME & MODERNITÉ »
« Pour poursuivre le chemin tout en transmettant l’héritage du passé,
Il fallait conserver « l’esprit de la marque », son style et sa signature, se poser cette unique question pour parachever l’oeuvre accomplie :
« qu’est-ce que Circuit 24 aurait bien pu proposer à son public pour se renouveler et continuer sa destinée…
s’il n’y avait pas eu le dépôt de bilan de 1972 ? »
.
Roues à cercles concentriques (plastique gris)
DB Panhard HB4 CIRCUIT 24 (1962)
Roues à cercles concentriques (aluminium)
Alfa Romeo T33/2 CIRCUIT 24 (2021)
ROUES À BÂTONS
Des jantes à bâtons en plastique chromées
apparurent sur les FORMULE 1
au format 1/24,
les dernières voitures de la marque.
Elles furent aussi utilisées
sur quelques Porsche 917K tardives (1972–1973).
Conçues en Angleterre en pouces,
ces jantes
ont étés mesurées,
copiées et modélisées
avec grande précision,
afin d’assurer
cohérence et continuité
entre le passé et l’avenir.
De qualité supérieure, ces roues sont fabriquées dans un matériau d’alliage d’aluminium de haute qualité.
Résistance élevée et durable, poids faible, taille compacte, ces roues sont faciles à assembler et à démonter.
Chaque véhicule est fourni avec une clé hexagonale M2
Elles peuvent être utilisées sur d’autres marques (diamètre essieu 2,48 mm).
Capture d’écran du fichier 3D de la jante à bâtons 70’s Circuit 24® de 1972, revisitée par DZ-015
DES ROUES COPIÉES
SUR UN MODÈLE VINTAGE RARE
Le design de ce modèle de roue à bâtons
provenait à priori de la société GAMA.
Au début des années 70,
cette marque est en effet la première à en sortir en France.
Circuit 24 ne semblait pas trop se soucier du réalisme de ses voitures :
pendant plus de dix ans, les roues traditionnelles à rayons furent utilisées pour tous les véhicules, sans aucune cohérence.
Avec la série de Formule 1, la marque se remet en question
et introduit enfin un nouveau type de jante.
Roue à bâtons vintage (Plastique chromé)
Formule 1 LOTUS 1/24 GGN / Circuit 24 (Coffrets Grand Prix)
Roues à bâtons du Nouveau Circuit 24 (Aluminium)
Les premiers modèles à recevoir ces roues furent les 2 LOLA T70 MKIII de 1968
LA GAMME DES ROUES A BÂTONS
sur les nouvelles voitures Circuit 24®
ALUMINIUM BRILLANT, ALUMINIUM ANODISÉ NOIR, LAITON
MATRA SIMCA MS630 #24
Bleu – 19ème (Abandon)
Référence n° 1910
PORSCHE 917 K #23
Rouge – gagnante
Référence n° 2310
FERRARI 512 S #12
Jaune – 5ème
Référence n° 2410
TROIS VOITURES DIFFÉRENTES AVEC TROIS TYPES DE ROUES À BÂTONS
LES PNEUS « 1960 »
PNEUS URÉTHANE « CLASSIC »
LES PNEUS ORIGINAUX DES MODÈLES VINTAGE SONT AUJOURD’HUI FABRIQUÉS ET DISTRIBUÉS PAR UNE SOCIÉTÉ AMIE, TOY STORE S.A.R.L., QUI FOURNIT TOUTES NOS VOITURES À JANTES ANNÉES 50 ET 60. AVEC LEURS BANDES DE ROULEMENT ET DES INSCRIPTIONS SUR LES FLANCS, CES PNEUS MOULÉS SONT UNE REPRODUCTION PARFAITE DES PNEUMATIQUES « DUNLOP » DE L’ÉPOQUE. LEUR COMPOSITION DE CAOUTCHOUC ET DE SILICONE LEUR ASSURE UNE LONGÉVITÉ ET DES PERFORMANCES TRÈS NETTEMENT SUPÉRIEURES AUX PNEUS D’ORIGINE.
LES PNEUS « 1970 »
PNEUS URÉTHANE « SLICK »
POUR HABILLER NOS JANTES À BÂTONS, DES PNEUS COMPATIBLES DE MODÈLES VINTAGE CARRERA ONT D’ABORD ÉTÉ UTILISÉS, PUIS ONT ENSUITE ÉTÉ DESSINÉS DES PNEUS DÉDIÉS, AUX COULEURS DE LA MARQUE CIRCUIT 24 ET DE LA SOCIÉTÉ DISTRIBUTRICE ET PROPRIÉTAIRE, « DZ-015 ».
ÉCLAIRAGE
L’ÉCLAIRAGE DES VOITURES DE CIRCUIT 24
Vos amis et vous-même serez en admiration devant vos miniatures électriques,
très ressemblantes et quasiment toutes équipées de phares connectés,
roulant de nuit à toute allure et procurant à chacun une joie souvent intense.
Vos voitures Circuit 24 éclarieront vos pistes de SLOT pour vous y divertir.
Souvenez-vous : « Même la nuit ! »
La Porsche 550 coupé de 1953, sortie le 3 avril 2024
L’éclairage des voitures Circuit 24
Dans les années 60–70,
la marque JOUEF vendait déjà
un kit d’éclairage (Ref. 3880) et certaines voitures
en étaient équipées en série,
comme la Matra Jet, la Ford GT 40,
la Porsche 917, l’Alpine 3000, la R 8, etc.
Circuit 24 a également proposé jadis
des Ford GT 40 avec éclairage :
il semblait donc logique de proposer aujourd’hui nos voitures avec des phares connectés.
Les phares connectés :
L’INNOVATION MAJEURE DES LEDS
Presque toutes les voitures du nouveau Circuit 24
sont donc conçues et vendues
avec un éclairage fonctionnel.
Des semi-conducteurs et des résistances,
assemblées à la main,
rendent ces voitures de courses miniatures
encore plus réalistes :
elles ont des phares avant ET arrière !
Les leds ont étés sélectionnées
pour que
leurs formes rappellent celles
des
différents phares
des voitures de courses originales.
Chaque led est protégée par un capot de phare, transparent à l’avant et rouge à l’arrière,
afin de diffuser la lumière de belle façon.