Circuit 24, Le Vrai !

 Bienvenue dans le monde de demain...
sur le site Officiel du Vrai Circuit 24© (Marque déposée en 2020) :
modèles inédits compatibles avec les standards de la marque vintage,
boutique en ligne de voitures de collection et pièces de rechange,
mais aussi des informations historiques et techniques GRATUITES
et des "trucs et astuces" (à venir)...

LE LUNDI 25 JANVIER 2021, LA MARQUE CIRCUIT 24 RENAÎSSAIT

Près de 50 ans
après sa disparition,
la marque française de slot
sort
ait sa première
nouvelle voiture !

CIRCUIT 24 (1961–1973) renaît de ses cen­dres,
présente la Porsche 907 tant atten­due
et annonce pour les mois et les années à venir
beau­coup de nou­velles voitures,
inédites et entière­ment compatibles.

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                          25 janvier 2021

Un nouveau départ


            Circuit 24, le Vrai ! 

 Le blog du nouveau
          CIRCUIT 24

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    1er novembre 2022 : CINQ modèles de Porsche 917K ! 

    (références 2310 et 2320)

    Depuis le 25 janvier 2020, cinq modèles différents de voitures du nouveau Circuit 24® sont sortis :
    tout d’abord la Porsche 907/6L de 1967, deux Lola T70 MKIII et l’Alfa Romeo T33/2 de 1968,
    ainsi que la FERRARI 250 GT SWB de 1960, en deux motorisations et trois couleurs. Après les deux Ferrari 512S “Coda longa” de 1970, sorties fin avril 2022 en jaune et en rouge, voici aujourd’hui cinq modèles différents de Porsche 917K : 

    deux ans et demi après la renaissance, la gamme du nouveau Circuit 24® est déjà riche de seize voitures différentes !
    Un nouveau site internet, en version beta, est aujourd’hui en ligne : www.circuit24.fr . Si vous préférez passer vos commandes
    par mail ou courrier comme d’habitude, envoyez un mail et je cous enverrai un bon de commande.
    Une fois résolu les problèmes d’ajustements des frais de port, ce site viendra rendre possible peu à peu
    la commande de voitures modernes mais aussi de pièces détachées de voitures vintage
    actuellement disponibles sur Ebay (compte circuit24levrai) :
    une boutique en ligne se met donc progressivement en place sur www.circuit24.fr

    Sortie pour septembre ou Noël 1971, la Porsche 917K rouge Circuit 24
    n’est pas exactement celle qui a gagné la course du MANS en 1970 : la version ailée n’apparaît en effet qu’en avril 1971
    et la 917K “Martini” n°22 ailée qui remporte l’édition des 24 Heures du Mans en juin 1971… est blanche. L’idée est donc venue
    de copier le design de cette voiture et de la décliner en plusieurs versions, ailée, non ailée, avec ou sans aileron central.
    La coque et le vitrage ont été préservés, les phares avec leur singularité aussi :
    on a juste désépaissit l’intérieur non visible des ailes arrières afin de pouvoir y faire tourner tout type de châssis,
    vintage, moderne à roues à cercles concentriques et pneus classiques ou moderne à pneus slick larges.

    Toutes nos voitures Circuit 24® ont normalement des phares connectés :
    comme cela n’était pas possible ici, comment faire alors pour singulariser autrement ces modèles de Porsche 917K ?
    La marque vintage a édité une FORD GT40 avec des décalcomanies bleues et blanches. 
    Le pilote anglais Phil HILL, déjà associé à la FERRARI 250 TR sortie en 1961 pour en faire la publicité,
    a en effet été également mis en avant pour la sortie de la FORD GT40 :
    La décoration de la voiture qu’il conduisit au MANS en 1964 avec Bruce Mc LAREN ou en 1965 avec Chris AMON (MKII)
    servira de modèle pour l’habillage par décalcomanies de certaines FORD GT 40 de Circuit 24, blanches, bleues ou grises.
    Il a donc été décidé de poursuivre dans cette voie et ont donc été fabriqués des sets professionnels de décalcomanies
    pour trois de ces Porsches 917 K de 1970 : la n°18, la n°20 et la n°23.
    La pose n’étant pas à la portée de chacun, la n°21 et n° 22 sont proposées à la vente avec de simples stickers de numéros
    et sont donc encore moins chères que les précédentes.
    Il est à noter que ces cinq modèles de Porshe 917 K sont proposés cette fois avec ou sans châssis :
    si vous possédez déjà un châssis avec le moteur BUHLER 2020
    ou vous vous suffisez d’un châssis vintage BUHLER ou même VIBREUR,
    vous pourrez y fixer parfaitement toutes les voitures Circuit 24® modernes.
    Vous pouvez également choisir vos roues parmi les 4 modèles existants,
    si vous choisissez la voiture complète avec châssis : il vous suffit de préciser votre choix lors de la commande.
    Comme à l’habitude, chaque voiture est vendue avec sa boite dédiée, numérotée de 1 à 100 :
    il n’y en aura jamais plus que 100 exemplaires.
    Sortiront prochainement, avec les deux FERRARI 512M de 1971, d’autres modèles de 917 K, ceux de cette même année…
    où c’est encrore Porsche qui gagne.
    N’hésitez pas à me contacter pour obtenir des conseils de pose pour les décalcomanies.

    Dimanche 1er mai 2022 – RÉFERENCE 2400

    Ferrari 512 S n°11 rouge et n°12 jaune (1970)

    Vainqueur des quatre dernières éditions, Ford n’est pas au Mans les 13 et 14 juin 1970. Porsche et Ferrari s’affronteront donc en duel cette année-là ainsi que la suivante (sept Porsche 917 et onze Ferrari 512S en 1970, six Porsche 917 et neuf Ferrari 512M en 1971 !). Les prochaines sorties de nouveaux modèles s’articuleront donc autour de ces deux duels : de nouvelles Porsche et de nouvelles Ferrari, en différentes versions, sont donc à prévoir dans les mois qui viennent !
    Pour l’écurie Porsche, le Mans est la course majeure de la saison. Une victoire au Mans marquerait l’aboutissement de vingt années d’efforts en compétition. Plus que sur tout autre circuit, la vitesse de pointe des voitures y est cruciale : Ferrari et Porsche y présentent des versions spécifiquement étudiées pour ce tracé. Plus rapide en lignes droites, la firme Allemande termine aux trois premières places du classement de 1970, qui ne voit que sept voitures classées dans une édition radicalement pluvieuse !
    Associée à la Matra MS660 dans le coffret A12 qui sort pour Noël 1971, la nouvelle Porsche 917K rouge du Circuit 24 vintage n’est pas exactement celle qui a gagné en 1970 : la version avec des ailerons n’apparaît en effet qu’en avril 1971 aux essais privés et la 917K ailée “Martini” n°22 qui remporte l’édition des 24 Heures du Mans en juin 1971 est blanche. D’autres 917K à ailerons seront bleu ciel : il n’en existera pas de rouges dans la réalité.
    RÉFERENCE 2400

    Ferrari 512 S n°11 (1970)

    Les deux Fer­rari 512S du « nou­veau Cir­cuit 24® » sont les seules rescapées de cette course épique et elles sor­tent aujourd’hui en ver­sion “lumineuse”, avec deux phares arrière con­nec­tés et qua­tre phares avant : une pre­mière mon­di­ale pour ce mod­èle, excusez du peu, car les deux phares cen­traux au ras du sol sont de très petite taille… et aucune mar­que de slot ne les avait con­nec­tés jusqu’à main­tenant.
    Sor­tent donc une rouge sans rétro­viseurs extérieurs (Buck­num / Posey) et une jaune avec (De Fier­lant / Walk­er). Les deux mod­èles ont un rétro­viseur périscopique chromé au-dessus du cock­pit et sur les côtés deux bou­chons chromés et un petit bou­chon en métal.

    RÉFERENCE 2410

    Ferrari 512 S n°12 (1970)

    Les Fer­rari de cette époque avaient des jantes dorées : on a osé, pour les Fer­rari 512S et les 512M à venir, la fab­ri­ca­tion CNC de roues à bâtons en laiton, plus lourd que l’aluminium. Le choix orig­i­nal de ce matéri­au rend le châs­sis plus com­péti­tif encore : alors que la plu­part des voitures de slot mod­erne néces­si­tent un lestage appro­prié, les voitures du nou­veau Cir­cuit 24® col­lent à la route et les chronos sont red­outa­bles ! Une dernière chose : les deux rétro­viseurs jaunes sont inter­change­ables et disponibles en pièces détachées…

    1er NOVEMBRE 2021 — RÉFERENCE 0700 

    Ferrari 250 GT SWB (version 1960)

    La pre­mière FERRARI 250 GT Berlinet­ta SWB, apparue lors des 24 Heures du Mans en juin 1959, est une ver­sion inter­mé­di­aire. Son châs­sis de 2,60 mètres va être réduit de 200 mm quelques mois plus tard et la SWB (“Short Wheel Base”), devient dès lors culte en caté­gorie GT2. Elle est dess­inée par Pin­in­fa­ri­na, les ingénieurs Car­lo Chi­ti et Giot­to Biz­zarri­ni se con­cen­trant sur l’aérodynamisme et les arrondis. La fab­ri­ca­tion de la car­rosserie est sous la respon­s­abil­ité de Scagli­et­ti et très vite elle sera con­sid­érée comme le plus bel alliage entre l’esthétique et la fia­bil­ité, les per­for­mances mécaniques. Elle devient dès lors une légende auto­mo­bile : en con­séquence, nous ne ne nous attarderons pas ici en détail, telle­ment il existe de mul­ti­ples ouvrages sur le sujet et d’articles en ligne qui en décrivent l’histoire avec pré­ci­sion.
    Selon les experts, c’est l’un des plus beaux mod­èles auto­mo­biles. Il a donc sem­blé très vite néces­saire d’intégrer la FERRARI 250 GT SWB dans la gamme du nou­veau Cir­cuit 24®, qu’elle est venue rejoin­dre pour les fêtes de fin d’années 2021.
    Cette ver­sion 1960 est intéres­sante, car cette année là par­ticipèrent aus­si les FERRARI 250 TR 59/60 n°11 (gag­nante) et n°17 (2ème) ain­si que plusieurs PANHARD (l’HBR4 n°48 est 15ème, l’HBR5 n°47 est 17ème). 

    DEUX MOTORISATIONS DIFFERENTES :
    La plu­part des voitures du « nou­veau Cir­cuit 24® » peu­vent rouler avec des châs­sis vin­tage à moteur vibreur sans mod­i­fi­ca­tion. Avec un axe élar­gi de COOPER T51 ou de KART, elles tien­nent encore mieux la route et leurs roues ne dis­parais­sent pas sous la voiture. Con­cer­nant l’éclairage, une car­rosserie câblée pour éclair­er la piste avec du courant con­tinu doit être adap­tée pour fonc­tion­ner sous courant alter­natif. Finale­ment, comme cette FERRARI 250 GT SWB est un mod­èle majeur, déci­sion a été prise de fab­ri­quer deux ver­sions dif­férentes.
    Sort d’une part la ver­sion com­plète habituelle numérotée, avec châs­sis Bühler2020, con­den­sa­teur et diode en série, en boite à cou­ver­cle cristal, etc. Est com­mer­cial­isée d’autre part une car­rosserie câblée pour l’alternatif (« AC Light­ed Cir­cuit 24 body ») : cette car­rosserie s’adaptera par­faite­ment à vos châs­sis vibreur com­péti­tion les plus per­for­mants… et la beauté de son éclairage en série vous enchantera !
    La boîte d’emballage des COOPER T51 anglais­es fab­riquées par MECCANO a servi de mod­èle pour les dimen­sions et le design, mais comme il n’était pas pos­si­ble de fab­ri­quer cette boite par un imprimeur à cause du coût de fab­ri­ca­tion du façon­nage, une solu­tion en bris­tol épais a été choisie. Les boites de ces car­rosseries pour châs­sis vibreur (non four­nis) sont arti­sanales et fab­riquées par mes soins, à l’unité et à la main : c’est l’équilibre qui a été trou­vé pour ne pas alour­dir le prix de revient de ce mod­èle, afin qu’il soit acces­si­ble à tous.

    RÉFERENCE 0710

    Ferrari 250 GT SWB n°18 (1960)

    Voici aujourd’hui la FERRARI 250 GT SWB dans sa ver­sion de 1960, en deux motori­sa­tions et trois couleurs !
    LA RARETÉ DU JAUNE “CIRCUIT 24”
    Ces voitures sont fab­riquées en usine en impres­sion 3D très haute déf­i­ni­tion, avec une pré­ci­sion de 0,05 mm, selon des fichiers numériques créés par DZ-015. Toutes les étapes ultérieures sont réal­isées manuer­lle­ment, comme la ponçage et la pein­ture.
    DB PANHARD jaune, FERRARI TR 250 jaune, FORD GT 40 jaune-orangé : chez Cir­cuit 24®, le jaune a tou­jours dit la rareté. Pour pos­séder une FERRARI 250 GT SWB jaune, il fau­dra for­cé­ment l’acquérir en ver­sion Bühler2020.
    On s’est de plus appliqué, comme pour tous les mod­èles de la gamme, à repro­duire les couleurs d’origine. Cette couleur jaune (« Gial­lo Mod­e­na ») est bien exacte­ment le jaune FERRARI de l’époque.

    RÉFERENCE 0710

    Ferrari 250 GT SWB n°22 (1960)

    Le ren­du de la ver­sion gris métallisé, presque « chromé », est égale­ment mag­nifique. Il s’agit d’un gris rare, d’une qual­ité plutôt ina­habituelle pour ce type de petite série.
    DES ROUES À RAYONS OU DES ROUES CERCLÉES EN ALUMINIUM

    La vraie voiture avait des roues à rayons. Il est dif­fi­cile de fournir en grand nom­bre des jantes à rayons d’origine qui soient neuves et bien bril­lantes car ce type de fab­ri­ca­tion n’est rentable qu’au delà de plusieurs dizaines de mil­liers d’unités : la finesse et la com­plex­ité des rayons empêche égale­ment la fab­ri­ca­tion en métal de ce mod­èle de jante. Les voitures à châs­sis Bühler2020 sont donc ven­dues avec les mêmes roues alu­mini­um à cer­cles con­cen­triques et les mêmes pneus d’origine que l’ ALFA ROMEO T33 3/2.
    Les puristes, néan­moins, pour­ront échang­er ces roues métal avec leurs plus belles roues vin­tage, jantes à rayons pris­es sur leur pro­pre stock per­son­nel : il ne fau­dra pas alors oubli­er de les coller sur les axes dans les règles de l’art ! Sera alors ren­due pos­si­ble la mise en place, par exem­ple, des qua­tre roues métal sur une MATRA MS 660 pour en amélior­er le look… ou bien sur une CHAPARRAL, par exem­ple.
    Votre Fer­rari « Short Wheel Base » roulera avec des jantes à rayons neuves de votre col­lec­tion… et l’une de vos FORD GT40 aura un look résol­u­ment mod­erne ! On peut aus­si ne pas chang­er les jantes de la FERRARI et les garder telles quelles : vous choisissez !

    RÉFERENCE 0710

    Ferrari 250 GT SWB n°19 (1960)

    Le rouge est égale­ment le rouge Fer­rari de l’époque : « Rosso Cor­sa » se traduit par « Rouge course ».
    Sans doute en 2025, cinq autres voitures en « ver­sion 1961» (gris clair, gris fon­cé, rouge, bleu, blanc) s’ajouteront à la gamme : elles pour­ront égale­ment cotoy­er vos FERRARI 250 TRI et PANHARD DBR4 vin­tage, mais aus­si s’affronter à deux PORSCHE 718/4 RS Coupé, qui par­ticipèrent à l’édition de 1961 (la n°32 est 7ème, la n°30 est 26ème) : de quoi con­stru­ire une mul­ti­tude de « 6 pistes Cir­cuit 24® » dédiées à ces cours­es mytiques du passé !

    UNE CALANDRE EN ALUMINIUM !

    Com­ment chromer des pièces en résine en petite série ? Obtenir un ren­du de qual­ité n’est vrai­ment pas sim­ple, d’où le choix d’une fab­ri­ca­tion de la calan­dre de la voiture en alu­mini­um, en recourant à la CNC. La CNC (« Com­put­er Numer­i­cal Con­trol » ou « Machine-out­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­il à com­mande numérique ») per­met aujourd’hui de réalis­er des pièces très petites dans un métal bril­lant qui ne s’altèrera pas avec le temps : on nour­rit la machine d’un fichi­er 3D adéquat… et elle fab­rique autant d’objets que désiré, en suiv­ant des instruc­tions pro­gram­mées codées et sans qu’un opéra­teur manuel ne con­trôle directe­ment l’opération d’usinage. Le coût uni­taire est élevé mais l’étape de chro­mage dis­paraît. Toutes ces Fer­rari 250 GT SWB ont cette calan­dre en alu­mini­um et il est même pos­si­ble d’en acheter sépare­ment si jamais la votre est abîmée.

    OCTOBRE 2021 — RÉFERENCE 2100

    ALFA ROMEO T33/2 n°39 (1968)

    Le 1er novem­bre 2021, fut dévoilé un autre bolide de la course des 24 Heures de 1968, l’Alfa Romeo T33/2. La “33” est con­stru­ite en tant que pro­to­type de course sportive par Alfa Romeo, en lien avec Baloc­co, pour la pre­mière fois en 1967. C’est Autodelta qui développe un nou­veau mod­èle pour la sai­son 1968, le T33/2. La voiture a fait preuve d’une approche nova­trice en matière de con­cep­tion de châs­sis, réu­nis­sant trois tubes d’aluminium de grand diamètre en forme de « H » qui incor­po­raient égale­ment les réser­voirs de car­bu­rant. L’ensemble a été riv­eté et revê­tu de plas­tique pour éviter les fuites, avec des sous-châs­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­sis avant et arrière mon­tés sur ce noy­au cen­tral. Pour faciliter davan­tage la répar­ti­tion du poids, les radi­a­teurs d’eau et d’huile ont été déplacés sur le côté du poste de pilotage du con­duc­teur. Afin que la voiture ne se soulève pas à grande vitesse, Autodelta abaisse la garde au sol et aug­mente la mani­a­bil­ité. D’autres mod­i­fi­ca­tions apportées à la car­rosserie visent à accroître l’accessibilité des mécani­ciens pen­dant les cours­es, tout en amélio­rant le refroidisse­ment par air des freins, du moteur et du poste de pilotage. L’Alfa Romeo T33 révisée et améliorée, aus­si appelée T33/2 (grâce à son moteur 2.0 litres, alu­mini­um, carter sec, V8), a fait ses débuts à Day­tona avec trois mod­èles en com­péti­tion dans la célèbre course de 24 heures en févri­er 1968. Les trois T33/2 ont ter­miné, rem­por­tant la vic­toire de classe ain­si qu’une impres­sion­nante 5ème, 6ème et 7ème place au classe­ment général.
    L’objectif pour le reste de la sai­son est de bat­tre Porsche dont la régu­lar­ité sem­ble intouch­able, rem­porter le cham­pi­onnat des 2,0 litres, et dévelop­per le moteur en vue d’une éventuelle util­i­sa­tion en série. La ver­sion Long-Tail est créée et ain­si, mal­gré un moteur 2,0 litres de 270 chevaux, ces voitures sont capa­ble d’atteindre les 300 km/h sur le cir­cuit Sarthois ! En course, la n°39 de Gal­li et Giun­ti va ani­mer une par­tie de la nuit dans une bataille pour la sec­onde posi­tion con­tre l’héroïque Hen­ri Pescaro­lo dans sa Matra MS630, privée d’essuie-glaces. Devant, la Ford GT40 des futurs vain­queurs sem­ble intouch­able.
    Finale­ment, les Alfa vont rétro­grad­er devant la remon­tée des Porsche. Trois autos vont aban­don­ner, trahies par leur moteur. Mais les autres sont bien à l’arrivée, avec des équipages 100% ital­iens ! La 39 est 4ème, la 38 est 5ème et la 40 ter­mine 6ème. La 39 rem­porte la classe des 2 litres, belle récom­pense après avoir raté le podi­um ! 
    Même si la supéri­or­ité de Ford et de Porsche est indé­ni­able, la T33/2 a rem­porté cette année-là 21 vic­toires, 15 vic­toires au classe­ment général et six vic­toires de classe ! Alfa Romeo est de retour et mar­que alors joli­ment de son empreinte cette fin des années 60 !

    UNE VERSION RARE

    Mal­gré sa ligne extra­or­di­naire­ment belle et ses fan­tas­tiques per­for­mances réal­isées en 1968, cette voiture est très rare au for­mat 1/32 dans cette ver­sion et encore plus en slot-rac­ing : seuls quelques kits épuisés s’échangent encore par­fois pour des mon­tants stratosphériques sur le marché de l’occasion !
    Pour toutes ces raisons et pour mar­quer son retour, la mar­que Cir­cuit 24® se devait de choisir l’Alfa Romeo T33/2 afin d’enrichir le cat­a­logue de ses nou­velles voitures. Elle vient aus­si com­pléter la gamme vin­tage et mod­erne pour cette année 1968, comme le démon­tre l’image d’introduction de ce chapitre, pho­togra­phie dans laque­lle s’intègrent par­faite­ment “anci­enne” et “nou­velles”, capa­bles de rejouer un moment historique.

    TOUJOURS DES PHARES AVANT ET ARRIÈRE

    L’une des car­ac­téri­stiques des voitures du « nou­veau Cir­cuit 24® » est la présence, sur la plu­part des mod­èles, de phares con­nec­tés, avant et arrière. Cette sig­na­ture trou­ve sa jus­ti­fi­ca­tion dans la présence, déjà à cette époque, d’une voiture dite “lumineuse” dans la gamme vin­tage.  En 1967, sor­tent en effet la Matra Jet 6 (annon­cée comme telle, c’est plutôt une Renée Bon­net AéroD­jet…) ain­si que la FORD GT 40. “Cette dernière sort en trois ver­sions, une ver­sion vibreur, une ver­sion « slot à diode » (ver­sion inter­piste à moteur RIAM, N.D.L.R.) et une « Spé­ciale Com­péti­tion ».
    Cette dernière, plus sportive, enrichie d’un éclairage, cor­re­spond mécanique­ment à la ver­sion « Super Com­péti­tion » de la Fer­rari Tes­ta Rossa” (La Vie du Jou­et n°67, juin 2001, page 26).

    Puis­sance accrue grâce à un bobi­nage ren­for­cé, freinage mécanique sur l’essieu arrière… et phares : à l’origine, donc, la mar­que a sor­ti, en série, une voiture avec chas­sis vibreur com­péti­tion, des freins et un éclairage con­fig­uré pour être ali­men­té par le seul courant alter­natif de l’alimentation.

    Il vous est d’ailleurs pos­si­ble de con­fi­er cer­taines de vos car­rosseries vin­tage à la société DZ-015 : peut en effet être réal­isée la mise en éclairage AC ou DC de tout mod­èle de la gamme (devis sur sim­ple demande).

    AILERONS ET RÉTROVISEURS INTERCHANGEABLES

    L’obsolescence pro­gram­mée n’est pas dans l’ADN de Cir­cuit 24®. Tout comme les rétro­viseurs, les ailerons verts de cette Alfa sont des pièces détachées qui s’intègrent dans des ori­fices et y sont col­lés : si vous êtes un casse-cou adepte des ton­neaux mul­ti­ples et réguliers, il vous sera tou­jours pos­si­ble d’acheter d’autres ailerons et de répar­er votre bolide si vous l’endommagez. Toutes les pièces détachées de toutes les voitures du « nou­veau Cir­cuit 24® » peu­vent être obtenues au détail et séparé­ment. Dans la durée égale­ment : à vie.

    9 AOÛT 2021 – RÉFERENCE 2000

    LOLA T70 MKIII (1968)

    Une Lola T70 jaune fig­ure sur cer­tains cof­frets et sans doute « Cir­cuit 24 » avait-elle pen­sé la sor­tir un jour. Le choix par la mar­que de ses futurs mod­èles minia­tures se fai­sait d’abord par l’observation de la con­cur­rence (Soli­do, Scalex­tric, etc.) et la con­nais­sance du marché. Etaient aus­si scrutés les résul­tats des 24 Heures du Mans, ceux des 1000 kilo­mètres de Paris ou de Buenos Aires, mais aus­si ceux de la BOAC Inter­na­tion­al 500 qui se déroule alors durant 6 heures sur le cir­cuit de Brands Hatch. Cette course longue de 4.265 km est inscrite au Cham­pi­onnat des voitures de sport, c’est l’ancêtre des 1000 kilo­mètres de Brands Hatch, « British Over­seas Air­ways Cor­po­ra­tion » en est le spon­sor et plusieurs pilotes français de renom la rem­porteront, comme Hen­ri Pescaro­lo / De Adamich en 1971 (sur Alfa T33/3) et Bel­toise / Jari­er en 1974 (sur Matra MS670C).

    Suite aux exploits de la GT 40 aux 24 Heures du Mans 1966 (1er, 2ème et 3ème places pour FORD), Cir­cuit 24 l’ajoute à sa gamme en 1967 avec une voiture française, la « René Bon­net Aérod­jet », voiture n’ayant fini qu’à des places d’honneur en 62 et 63 au Mans et qui prend curieuse­ment le nom de « Matra Djet » au cat­a­logue… façon SOLIDO, dont la mar­que s’inspira beau­coup au fil des ans. Elles sor­tiront ensem­ble dans le «cof­fret inter­piste» de 1968, Oscar du Jou­et en 1969 et sur lequel fig­urent une Lola T70 et une Porsche 906.
    Ce nom est une vraie trou­vaille mar­ket­ing, mais le principe de l’élément de croise­ment et la pos­si­bil­ité de cir­cu­la­tion sur deux voies pour les deux voitures grâce à l’utilisation de diodes a été copié : il exis­tait depuis des années déjà car les mar­ques High­ways (HO) et Wrenn (1/52) en Angleter­rre, Mini­amil en France, Fall­er en Alle­magne et Eldon aux U.S.A. (1/32), avaient élaboré con­join­te­ment ce sys­tème dès la fin 1963 et au début de 1964. L’histoire du « compt­able ayant oublié de dépos­er le brevet de l’interpiste » est une fable sym­pa­thique, mais absol­u­ment fausse !
    Aux 24 Heures du Mans 1967, les deux Chap­pa­r­al 2F aban­don­nent mais font sen­sa­tion avec leurs ailerons. Les Fer­rari 330 P4 ter­mi­nent 2ème , 3ème et 18ème. L’édition de la BOAC Inter­na­tion­al 500 du 30 juil­let sera rem­portée par l’équipage Phil Hill / Mike Spence à bord de l’aileronnée Chap­ar­ral 2F. Troisième temps des qual­i­fi­ca­tions, elle béné­ficiera des aban­dons des Lola T70 de Hobbs / Sur­tees, de cer­taines 330 P4 et de Ford GT40. Les Fer­rari P4 seront respec­tive­ment 2ème , 5ème , 6ème et 7ème ! Il fal­lait être en phase avec l’actualité : tout naturelle­ment chez Cir­cuit 24, la Chap­pa­r­al 2F de Phil Hill sort donc en 1969… avec la Fer­rari P4 de Jack­ie Stew­art !
    Le classe­ment de la BOAC 500 de 1968 met en valeur la Ford GT40 (1er, 4ème et 11ème) et la Porsche 907 (2ème et 3ème). La Lola T70 MkI­II GT Chevro­let de l’écurie Bon­nier est 6ème et de nom­breuses 906 sont classées aux places d’honneur (12ème, 16ème, 19ème, 21ème et 22ème). Les deux Lola T70, bleu ciel et poupre, aban­don­nent au Mans, qui en 1968 à lieu le 29 sep­tem­bre. Même chose un peu plus tard aux 1000 kilo­mètres de Paris : dans le groupe 4, la Lola T70 MkI­II GT Chevro­let de Norinder / Wid­dows y signe le meilleur temps des essais… mais les Lola ne sont pas classées.
    Ces bolides sont ter­ri­ble­ment per­for­mants mais man­quent encore de fia­bil­ité: on com­prend mieux alors l’intérêt gran­dis­sant pour cette voiture de course, puisqu’une pho­to de la BOAC 500 du 7 avril 1968 est choisie pour illus­tr­er les cof­frets de troisième généra­tion qui sor­tent à Noël 1968 : celle de la Lola jaune n°2 du sué­dois Joakim Bon­nier qui s’apprête à dou­bler la 906 vert fon­cé n°22 con­duite par Mário de Araújo Cabral (pilote Por­tu­gais que l’on recon­naît au volant), asso­cié à un per­son­nage cen­tral de l’histoire du sport auto­mo­bile Québé­cois, Jacques Duval…


    Sources Inter­piste : Pepe in « slot-retro-forum », novem­bre 2020
    Sources dates de sor­ties : Arti­cle de Frédéric Remise aidé par Thier­ry Fos­se, in « La Vie du Jou­et n°67 », mai 2001

    RÉFERENCE 2000

    LOLA T70 MKIII n°6 (1968)

    Si les résul­tats sportifs de la Lola T70 MKIII avaient été meilleurs, sans doute la mar­que Cir­cuit 24 l’aurait elle con­vo­quée dans son cat­a­logue de l’époque, tant elle est mag­nifique et ses lignes orig­i­nales. Le pro­jet n’a pour­tant pas dépassé l’illustration des cof­frets ! Con­cer­nant les autres sor­ties de cette péri­ode, seule la Matra MS660 – annon­cée MS650 dans le cat­a­logue de 1971 – sor­ti­ra à cette date.  En 1972, ce sera le tour de la Porsche 917K. de sor­tir en trois couleurs (rouge, orange, blanc). La Porsche 907, qui fig­u­rait aus­si pour­tant au cat­a­logue de 1971, ne fut jamais mise en chantier par la mar­que vin­tage.
    Existèrent deux ver­sions majeures de la Lola T70 MKIII. La ver­sion «b» de 1969, 1970 et 1971 ( trois voitures rouges), ne peut-être con­fon­due avec les précé­dentes car l’avant est com­plète­ment dif­férent, les phares notam­ment, même si cela n’empêche pas Slotwings de com­mer­cialis­er la n°7 de 1968 couleur ciel en ver­sion Mkl­llb postérieure. Celle de 1967, vit­rée sur l’arrière et sans pipes d’admission, a égale­ment été écartée : c’est donc la ver­sion 1968 qui a été choisie, d’autant que cette année-là trois Alfa Roméo finis­sent 4ème, 5ème et 6ème et que l’Alfa Romeo T33/2 est la voiture sui sort ensuite dans la gamme. 

    RÉFERENCE 2000

    LOLA T70 MKIII n°7 (1968)

    Châs­sis moteur BÜHLER dernière généra­tion, roues à bâtons en alu­mini­um bril­lant, deux phares dif­fu­sants et deux phares spot à l’avant, deux feux rouges à l’arrière, clig­no­tants arrière non con­nec­tés, vit­rage de l’habitacle et capots de phares rigides, épais et trans­par­ents : comme tou­jours, ces voitures numérotées sont fournies en boîte, avec diode et con­den­sa­teur en série, prêtes à rouler sur une piste Cir­cuit 24® ou sur toute autre piste mod­erne bien plus rapi­de.
    NB Le bloc des pipes d’admission et les rétro­viseurs sont en effet des pièces spé­ci­fiques de la mar­que. Indépen­dantes de la car­rosserie pour pou­voir facile­ment être changées au besoin, elles seront déclinées aus­si sur d’autres modèles.

    LUNDI 25 JANVIER 2021 – RÉFERENCE 1700

    Annon­cée à grand ren­fort de pub­lic­ité, la dernière voiture qui aurait dû sor­tir des usines Cir­cuit 24… n’en sor­tit jamais. Beau­coup de col­lec­tion­neurs ont ten­té de la fab­ri­quer en croisant le châs­sis habituel avec des kits, des maque­ttes, des voitures de slot exis­tantes… mais aucun n’y est par­venu : annon­cée pour 1971, c’est la voiture mythique de la course du siè­cle dont tout le monde par­le, que cha­cun a vu en pho­to dans un cat­a­logue, que chaque pas­sion­né a un jour cher­ché… mais qui n’existe pas. Lors de la sai­son 1967, la firme de Stuttgart con­stru­it sa pre­mière auto­mo­bile dévelop­pée spé­ci­fique­ment pour le cir­cuit du Mans : c’est la Porsche ayant le meilleur Cx (0,27) de toute l’histoire du cir­cuit Sarthois et lui per­me­t­tant de frôler les 300 km/h. La Porsche de Sif­fert et Her­rmann fran­chit la ligne au cinquième rang, la n°41 gagne l’Indice de Per­for­mance et ter­mine sec­onde au Ren­de­ment. Vingt-qua­tre heures à plus de 200 Km/h de moyenne : aucune 2 litres n’avait jamais roulé aus­si vite, aucune n’a roulé aus­si vite depuis !
    Il aura fal­lu des mois d’efforts, en tra­vail­lant sur une durée incroy­able­ment longue et avec plusieurs équipes de parte­naires dif­férents pour par­venir à trou­ver l’équilibre d’une créa­tion totale­ment orig­i­nale et ne ressem­blant à aucune autre… si ce n’est le mod­èle lui-même : la vraie voiture de course. Que soient ici remer­ciés celle et ceux qui s’épuisèrent à la tâche sur cette minia­ture et répondirent présents devant les inces­santes deman­des de cor­rec­tions, voire de change­ments rad­i­caux. Il y eu en tout cinq ver­sions dif­férentes… mais une vraie ren­con­tre ren­dit pos­si­ble, enfin, le partage d’un même niveau d’exigence.

    PORSCHE 907 n°41 (1967)

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    Gen­er­al Typog­ra­phy : Abel Gras (24)